Une préoccupation exagérée pour l'environnement naturel et une sorte d'écologisme sont des manifestations de l'idéologie de la contre-culture des années 60 et 80. Ils utilisent une vision naturaliste, qui interroge l'ensemble de la société moderne. Une telle attitude peut-elle être comparée à l'écologie? – l'un des sujets les plus brûlants du siècle dernier, bien qu'il soit tiré d'une idéologie sectaire? Après tout, le mot «secte» évoque généralement une réaction de rejet chez l’interlocuteur. Tout le monde se considère aujourd'hui en faveur de l'écologie, ne se reconnaissant pas comme membre d'une secte. Pendant ce temps, ces tendances ont des points communs aujourd'hui, à la fois dans les modes de fonctionnement, ainsi que dans la base doctrinale.
Dans Les trois écologies, Felix Guattari décrit trois disciplines: écologie relative au milieu naturel, écologie politique et écologie morale (ou écosophie). Comprenant, qui est lié à l'écologie, ainsi que les limites naturelles et économiques, l'écologie morale et le soin approprié de l'environnement naturel devraient le protéger des perversions des personnes, qui lui fait du mal ou le détruit. Même si le souci de l'environnement n'est qu'une vision superficielle et limitée de l'écologie, il est basé sur une croyance classique, que le bonheur humain "ne consiste pas à accumuler des biens, mais sur les expériences esthétiques et l'enrichissement spirituel, ce que le contact direct avec la nature apporte ". Le danger est là, que le concept de richesse immatérielle, qui de cette croyance découle, cela implique une rupture avec l'ordre social et économique. Une telle "spiritualité", largement salué et popularisé, il n'offre aucune solution aux problèmes du monde. Si vous excluez le "pari Pascal", Ceci est dû au fait, qui veut s'engager pleinement dans une idée, En pratique, rompre avec l'ordre actuel signifie entrer dans une microstructure, qui peut devenir le germe d'une organisation sectaire, tant que quelqu'un persuade les autres d'adopter leurs idées et décisions.